- monthly subscription or
- one time payment
- cancelable any time
"Tell the chef, the beer is on me."
Quelques messages ou entrées sont créés uniquement sur ce réseau social Soup.
Je vous conseille aussi Movim ou le Mammouth, c'est open-source, social et acentralisé.
Local search (on this web site):
La question m’a été posé plusieurs fois, je tiens à vous rassurer, et à être clair.
Si votre prestataire « one shot » a été liquidé puis repris par une autre entreprise, par exemple Imnalys récemment, vous n’avez aucune obligation, d’aucune sorte, de signer la moindre chose avec le repreneur. Ni même quelconque contrainte de prendre contact avec lui, d’accepter une proposition ou le moindre intérêt à signer à nouveau (mais avec cette nouvelle société). Pourquoi faire confiance à ce type d’entreprise ?
Certaines entreprises douteuses utiliseraient cette argument (être le repreneur) comme moyen de pression pour faire signer le client et ainsi le faire entrer dans leur giron, opération qui pourrait cacher une augmentation des mensualités ou un prolongement du contrat (par exemples). Non, ne vous laissez pas manipuler ! Ne signez rien sans avoir étudié le contrat à tête reposée pendant 48h minimum, et consulté un avocat, votre comptable, votre associé-e, votre conjoint-e ou autre conseil !
Plusieurs raisons à tout cela :
Dites vous bien que vous ne devez rien au repreneur. C’est lui et lui seul qui a choisi de reprendre ou racheter une société en faillite. Ce n’est pas à vous de payer les coûts de sa reprise (tel que éponger les dettes de la société liquidée).
Lien permanent : http://affaireeo.wordpress.com/?page_id=2733 & http://wp.me/pIvH6-I5 .
En réponse directe ou non à ces méthodes commerciales scandaleuses, plusieurs projets ont vu le jour concernant la qualité et l’éthique des démarches commerciales des fournisseurs TIC (et autres prestataires Web) envers leurs prospects et clients.
Le projet le plus abouti est la Charte eTIC Benelux menée par Damien Jacob.
Plus de 500 signataires ont volontairement adhéré et se sont engagé sur ses 7 clauses :
Notez bien que la Charte et ses clauses traitent principalement des relations commerciales et contractuelles entre les deux parties, pas la partie technique du contrat (le site Web et ses spécifications) ni la qualité finale du produit et/ou service.
Cette charte permet une meilleure relation de confiance avec son agence Web, notamment grâce à une meilleure communication et des contrats équilibrés entre les co-contractants. Toutefois, elle ne peut garantir à 100% un déroulement sans accroc de l’exécution du contrat. Il existe ainsi moyen de porter plainte contre son fournisseurs TIC après de la Charte.
Vidéo de présentation de la Charte eTIC Benelux :
La Charte eTIC Benelux s’est élargi et propose deux charte annexes dédiées au prestataires compétents en commerce électroniques (réalisation de boutiques en ligne) ou en référencement Web (« SEO »).
La Charte se déploie en France, anciennement connue localement sous le nom de « Label eTIC », avec une liste distincte des signataires.
Liens permanents vers cet article : http://affaireeo.wordpress.com/?page_id=2054 & http://wp.me/pIvH6-x8 .
La Chambre de Commerce de d’Industrie de Narbonne organise jeudi 20 janvier à 19h une réunion pour les clients des sociétés Odevia, Publiciweb et Locam.
Il s’agit bien sûr des clients ayant signé de manière concomitante un contrat avec chacune de ces sociétés au cours d’un unique démarchage « one shot » de cette agence Web.
La réunion sera animée par un avocat de Narbonne. Elle vise notamment à informer les clients de leurs droits et devoirs. La création d’une association locale est aussi au programme de la réunion.
La CCI de l’Aude se situe 1 avenue du Forum – Croixsud – Narbonne.
L’agence Web Ekinoxe Origin a été liquidée le 2 novembre par le Tribunal de Commerce de Roubaix-Tourcoing.
Elle a donc été éteinte, le seul contact avec elle est désormais le liquidateur : Maître Jérome THEETTEN – 59700 MARCQ-EN-BAROEUL. Un liquidateur a pour fonction de liquider des entreprises. Son travail passe notamment par la collecte du maximum de fonds afin de combler les pertes de la société.
La durée très courte du redressement (moins d’un mois) montre que l’entreprise était en très mauvaise posture. Normalement, une entreprise peut être en situation de redressement pendant plusieurs mois.
Selon le journal local Nord-Eclair, les employés jugent fausses les raisons de la liquidation, sans plus d’explications. Sur le forum du journal, ils lui ont demandé de pouvoir donner leur avis sur cette événement qui les met au chômage deux mois avant Noël.
Les dirigeants (Laurent Guilbert, Thomas Delaere et Stéphane Dejonghe) perdent donc leur investissement dans l’affaire, mais sont libérés de tout risque de poursuites judiciaires en qualité d’associé. Je me demande quel sera leur prochaine entreprise (projet ou société commerciale), je pense que je en suis pas le seul à les attendre au tournant.
De mon côté, cela me libère de mon assignation en référé et de la proposition de transation qui a suivi, mais me ferme toute possibilité de dommages-intérêts (pour « tentative d’intimidation » ou « procédure abusive », par exemples).
Les clients sont certainement les plus mal lotis. Ekinoxe Origin s’est exprimé publiquement sur cette liquidation. Elle assure qu’elle va essayer d’assurer la continuité des prestations souscrites. Avec mon avocat et de véritables professionnels du Web, j’étudie comment les clients pourraient récupérer leur site et leur nom de domaine. En attendant, ils peuvent regarder du côté de la faculté unilatérale de résiliation pour rompre le contrat de financement, en s’entourant obligatoirement d’un avocat pour une telle procédure.
Rappel : je n’accepte plus les témoignages en raison des poursuites-bâillons que je subis.
… ou toutes leurs techniques et méthodes pour piéger, enfermer et retenir le client.
Je vais vous exposer ici toutes les raisons pour lesquelles je trouve que ces agences méritent tout-à-fait la qualification « douteuse ». Nous parlerons donc ici de l’ensemble des techniques (en général et avec des cas particuliers) utilisées pour mener à ce que j’appelle un modèle contractuelo-technique de captivité (au lieu d’un « simple » modèle économique).
Ces agences de manière générales, emploient tout un lot de techniques et de méthodes que je n’apprécie pas, les voici dans l’ordre chronologique de leur mise en oeuvre :
Des créateurs de sites ont été approchés. Est-ce bien sérieux ?
Des gens ayant déjà un site Web ont été téléprospectés.
Des clients parlent même de « harcèlement téléphonique », tant les commerciaux les appellent souvent.
Certaines agences n’hésiteraient pas à critiquer le site d’un prospect si celui-ci en possède déjà un.
Des rendez-vous de vente se font à deux voire trois commerciaux. Probablement pour valoriser le prospect, en lui faisant comprendre qu’il est digne de rencontrer un marketeur + un technicien (ou un autre marketeur), mais cela permet aussi d’être en supériorité numérique, voire d’encercler le prospect.
Vouloir séduire n’est a priori pas répréhensible, mais prétendre à quelqu’un qu’il est un « élu » relève de la manipulation mentale. (Des sectes utilisent cette astuce lors de recrutements.)
Assertion destinée à créer de la compassion par la proximité, car mise sur les crédulité et générosité du prospect, lui-même petite entreprise. (Sous-entendu : « on peut s’aider entre entreprises » ou « vous pouvez nous aider à nous installer »).
Cela revient à vendre du rêve. Quand on n’y connaît rien (au Web), cette offre est un véritable cadeau du Ciel. Cette technique permet de capter l’attention, et de réduire le libre-arbitre du prospect. En état de séduction, ses capacités de raisonnement et d’esprit-critique sont réduites, ce qui augmente la probabilité de signature.
Il s’agit tout simplement d’un mensonge destiné à impliquer le prospect dans le projet et lui inspirer de la confiance, car il suggère un échange réciproque et durable. Cela est aussi un argument pour justifié la gratuité annoncé du site, car le prospect devra fournir une compensation, telle qu’une liste de personnes à prospecter dans la région, ou un lien sera mis en place sur son site vers celui de l’agence
Ne laisser aucune trace de la transaction, et surtout empêcher la publication de ces documents. Ces agences sont très conscientes du caractère non conventionnel de leur contrat. Cela permet aussi d’éviter que le prospect le lise et se rende comte que ce n’est pas du tout une bonne affaire.
Un des caractéristique de l’argumentaire consiste à ne pas créer ou laisser de doutes ou craintes dans l’esprit du prospect, pour ne pas réduire le chances de signature, quitte à acquiescer sur des erreurs de compréhension.
Création et entretien d’une attente. Cet octroi est en suspens, donc le prospect doit rester concentré sur ce qu’on lui raconte. Cela créé aussi un risque de frustration si il ne correspondrait pas au profil-client recherché pour le partenariat. Bien sûr, tous les prospects se voient octroyer le fameux site Internet gratuit.
Opération par laquelle le commercial fait chuter le prix du site vers juste l’hébergement à payer, chaque mois. Cette démonstration spectaculaire (barrer des tas de gros chiffres pour n’en laisser qu’un, petit) permet de finir de convaincre le client, qui sur le coup ne songe pas à calculer. Exemple : 250 € × 48 mois = 12 000 €, hors frais annexes tels mise en ligne, formation à l’outil de gestion du site, maintenance mensuelle ou trimestrielle… Cela conbribut évidemment à la confusion dans l’esprit du client. (Un site peut-il se payer uniquement sur son hébergement ?)
Caractéristique de la méthode « one-shot » : l’entretien de vente doit impérativement se terminer par une signature. La fidélisation client ne fait semble-t’il pas partie des contrats vendus par cette méthode.
Moyen de pression pour provoquer la signature. Etant donné que le commercial est alors pressé, et que le client vient d’être séduit, il n’a pas envie de laisser passer cette occasion, et signe (bien souvent). Cette précipitation permet d’éviter que le prospect lise le détail du contrat ; elle repose sur une potentielle frustration (en cas de son-signature).
Déresponsabilisation (au moins partielle), « libération » . Perturbe aussi le client sur le plan psychologique, car cette revente était prévue mais non annoncée, donc sournoise. (D’où un affaiblissement du client, ce qui réduit encore les risques de poursuites judiciaires.)
Mépris du client, qui est pourtant la principale raison d’exister de toute entreprise. Un « silence radio » pratiqué par un prestataire de communication, c’est louche, non ?
La Loi française (d’autres aussi sans doute) ne donneraient pas de possibilité de rétractation dans un contrat signé entre professionnels ( « B2B » ). Pourtant rien n’empêche une société d’intégrer un délai dans ces conditons générales de vente.
Politique de captivité et d’exploitation, avec la complicité de la société de crédit-bail. Instigue également une dépendance à l’agence Web.
À défaut de permettre la rétractation, tous les contrats proposent la résiliation, mais à condition de payer immédiatement 10, 20 ou 24 mensualités. Sur un total habituel de 48 mois, cela représente tout de même 21 à 50 % du montant total, et une grosse somme ! Cela permet de dissuader le client de se désengager, et de faire des liquidités rapidement et facilement, au prix d’une fidélisation client inexistante.
Optique purement capitaliste et cupide, ces tarifs sont très excessifs, surtout qu’ils prétendent ne représenter que l’hébergement !
Accaparation de ce nom par une clause du contrat, dans le but de retenir le client dans son giron. Pour le client, le plus simple est probablement d’y renoncer et d’en acheter un autre !
Que cela soit en cours d’abonnement ou à son échéance, le client ne peut par récupérer ou copier le contenu de son site ou de la base de données. Le site appartient à l’agence Web, ou même la société de leasing. Le site est détruit (ou mise hors-ligne) si le client ne se ré-engage pas pour plusieurs années, ce qui de toute façon est souvent stipulé par une clause de reconduction tacite du contrat.
Absence de transparence dans leur communication, qui en est pourtant une tendance importante. Honte de son propre business ? Ces entreprises douteuses sont en effet avant tout des structure commerciales, bien plus que des collectifs de communicants. Je pense franchement que ces entreprises n’ont pas la fibre communicationnelle.
Réduction des coûts et manque de volonté de valoriser les employés locaux.
(Malgré tout le manque d’expérience que j’ai, notamment sur les plans entrepreunarial et commercial.)
Voyons à présent quelle est la définition de « douteux » selon TheFreeDictionary.com :
Dont la réalité, l’exactitude n’est pas établie. Dont la valeur est contestable. Se dit de quelqu’un ou de quelque chose qui paraît peu fiable. Se dit de quelque chose qui manque de propreté ou de fraîcheur.
et selon le Wiktionnaire (un des projets-frères de Wikipédia) :
Les exemples ont été coupés et les sections qui nous intéressent ici ont été graissées.
Je pense que c’est sans appel. Ces entreprises ne sont pas dignes d’exister (pas avec de telles pratiques en tout cas), car elles sont tout simplement indignes ! L’adjectif « douteux » est peut-être même trop élogieux, le qualificatif « honteux » est probablement plus approprié.
Voilà donc pour l’argumentaire à soutenir au cas où on vous demande de justifier en détails la qualification « douteuse » de ces agences Web., ou si on vous demande de lister leur pratiques discutables contestables critiquables.
Des précisions à apporter, des remarques ? J’ai essayé de bien séparer les faits objectifs de mes explications et interprétations.
"Tell the chef, the beer is on me."
"Basically the price of a night on the town!"
"I'd love to help kickstart continued development! And 0 EUR/month really does make fiscal sense too... maybe I'll even get a shirt?" (there will be limited edition shirts for two and other goodies for each supporter as soon as we sold the 200)