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"Tell the chef, the beer is on me."
Quelques messages ou entrées sont créés uniquement sur ce réseau social Soup.
Je vous conseille aussi Movim ou le Mammouth, c'est open-source, social et acentralisé.
Local search (on this web site):
NON les média (oui je m'adresse à VOUS),
Alan Turing n'a PAS été poussé au suicide pour son homosexualité, mais *PAR HOMOPHOBIE* !
C'est d'autant plus FAUX si vous usez de formule telles "en raison de", "à cause de", "car" ou "parce que".
Au pire dites "pour motif", "sous prétexte" (et encore !)
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Avec tous les clients de ces agences que j’ai rencontrés (sur le Web bien sûr), j’ai pu établir la méthode suivante pour pousser ces entreprises à la résiliation du contrat.
Note préliminaire : en Droit français, une annulation n’est pas possible si l’exécution dudit contrat a débuté. Seule une résiliation est possible. (Sauf si les deux parties sont d’accord pour annuler le contrat.)
Ce n’est pas une méthode sûre à 100 %, ni absolue. Elle est générale, et doit donc être utilisé avec attention et prudence. Autant vous le dire aussi de suite : vous devrez consulter un avocat pour vous défaire de vos contrats (mais il est possible d’obtenir des compensations) et vous exposer en ligne (mais je vous aide à mieux appréhender vos identité numérique et cyber-réputation).
Conseil : imprimer cette page (CTRL + P) pour la lire hors-écran et pouvoir la consulter facilement à tout moment.
De manière générale, enregistrer tous les échanges et conversations. Par courrier, n’envoyer que des Lettre Recommandée avec Accusé de Réception (LRAR). Par téléphone, l’annoncer au préalable à l’interlocuteur, et obtenir son accord pour la poursuite de l’enregistrement, ou raccrocher. (Sinon l’enregistrement est nul et inexploitable juridiquement.)
Activer l’assistance juridique de son assurance professionnelle. Ne pas hésiter à leur faire suivre vos échanges avec l’agence Web et/ou la société de financement. Je ne connais malheureusement aucun avocat à vous recommander, sauf Me Dubrulle en Vendée.
Demander le jour-même l’annulation du contrat. La Loi donne un délai de rétractation de 7 jours à compter de la signature, par LRAR, sans distinguer si on agit en professionnel ou en consommateur. (France, articles L. 121-21 et L. 121-25 du Code de la consommation.)
Dans ce courrier, dénoncer les conditions de la signature, l’absence de délais de réflexion, la non réception du nom de domaine définitif avant la mise en ligne du site, tout ceci permettant d’argumenter sur le refus de collaborer sur des bases tronquées.
Signaler aussi cette demande au leaser (Parfip, Locam…), à son assureur professionnel, à l’ADCAPI, et à sa banque. (Leur envoyer une copie de la LRAR.)
Guetter la moindre faute, dysfonctionnement ou oubli, et faire constater par huissier. Exemple : module payé mais absent sur le site, bogue, référencement non conforme à ce qui est marqué sur le contrat…
Courir chez un avocat, ou chez un service d’aide juridique bénévole.
Sinon, exigez-le à la société de financement, elle doit vous remettre notamment ce procès-verbal de réception avant de vous prélever !
Recontacter le commercial et « menacer » de témoigner sur le Web, en citant explicitement les noms des personnes/entreprises. S’il y a une chose que ces agences n’aiment pas, c’est la publicité. Cela permet d’inverser partiellement le rapport de force et pousse l’agence à un RDV de résiliation. Si possible, se faire assister d’un avocat.
Rejoindre une association (ADCAPI…), informer les entrepreneurs amis, confrères. Communiquer avec d’autres clients de la même agences, par exemple via le groupe Facebook. Rejoindre d’autres clients de votre zone géographique. A partir d’un certains nombre, il peut être motivant pour eux tous de faire une manifestation : se rendre physiquement dans l’agence Web pour négocier une résiliation à l’amiable, et sans frais. Voire même accompagné : ami, représentant d’organisme professionnel, syndicat, journaliste avocat…
Prévenir les organismes professionnels (Chambre de Commerce et d’Industrie, Chambre des Métiers, DGCCRF, syndicats…) et média de son secteur d’activité/région., voire même les ministères concernés.
En cas de reprospection, dire « oui » à un RDV et… aviser. [ Piéger le commercial en le filmant, amener des témoins (amis, membre d'associations...) au RDV. ] Variante : donner une fausse adresse à laquelle vous ne vous rendez évidemment pas, histoire d’occuper inutilement le commercial, et si possible loin, afin d’augmenter sa fatigue. Autres idées pour nuire à une telle agence.
En cas de témoignage en ligne, ne pas calomnier, diffamer, dénigrer, injurier. Être strictement factuel, s’exprimer sans émotion. Bannir aussi les termes « arnaque », « escrocs », et leurs dérivés, car ils sont potentiellement diffamatoires. Pour exprimer des choses plus « dures », les faire passer comme des opinions, des sentiments. Il est légal de dire « je trouve mon site merdique », alors qu’il ne l’est pas de dire « mon site est merdique », car cela fait passer l’état « merdique » comme un fait (sous-entendu avéré) et est donc diffamatoire.
Quelques guides pratiques que je vous recommande fortement de lire avant de rédiger votre témoignage :
En cas de RDV filmé (à l’insu du commercial, bien sûr), évoquer ou rappeler la possible cession de l’enregistrement à une chaîne de TV ou TV Web. (Cela fait un autre moyen de pression et accroit la perte de contrôle de l’agence sur le contrat.) Rappel : sa diffusion est illégale (enregistrement à l’insu, conversation privée, Droit à l’image…).
"Tell the chef, the beer is on me."
"Basically the price of a night on the town!"
"I'd love to help kickstart continued development! And 0 EUR/month really does make fiscal sense too... maybe I'll even get a shirt?" (there will be limited edition shirts for two and other goodies for each supporter as soon as we sold the 200)